La fragilité a été définie dans les années 2000, comme un état de vulnérabilité à un stress, secondaire à de multiples déficiences du système qui conduisent à une diminution des réserves biologiques. Enjeu de santé publique et économique, au vu du nombre croissant de personnes vieillissantes (Selon l’INSEE : en 2050, un habitant sur 3 serait âgé de 60 ans ou plus contre 1 sur cinq en 2005), la mise en place de processus de repérage et d’accompagnement permet de retarder de façon notable (Dans le cas de la chute par exemple) l’entrée dans la dépendance. Sept critères (Nutrition, prise de médicaments, souffrance psychique, …) ont été retenus par l’ANESM afin de mieux cerner la perte d’autonomie (2016), autour desquels tous les acteurs, l’usager y compris, gravitant autour de lui, doivent travailler en partenariat au quotidien. Bien vieillir, vivre mieux au quotidien un véritable défi pour Tous !
Les objectifs
Comprendre les mécanismes de la fragilité et les incidences de la perte d’autonomie.
Repérer la perte d’autonomie, évaluer, transmettre en équipe pluridisciplinaire.
Améliorer les pratiques et la qualité de vie de l’usager.
Le contenu
S’approprier le concept de fragilité
Savoir repérer la fragilité
S’approprier la recommandation de bonnes pratiques : Repérage des risques de perte d’autonomie ou de son aggravation pour les personnes âgées